2013, l’année de la maturité pour la lutte contre les éoliennes industrielles dans les paysages des Franches-Montagnes ?
C’est sans complexe en tous les cas que les citoyens ont voté des moratoires ou des interdictions d’implanter de telles
machines sur les territoires de presque toutes les communes.
 
Merci à ceux qui se sont engagés pour cette cause en diffusant une autre information que celle que l’on nous sert pour justifier un tel massacre.
Grâce à eux, nous pouvons encore traverser ce coin de pays et nous extasier devant le spectacle que nous offre ses paysages exceptionnels.
 
2013, à Saint-Brais les années se suivent et malheureusement se ressemblent. Les personnes qui affichent simplement
ouvertement leur opposition aux éoliennes subissent de lourdes pressions. SMS anonymes grossiers et voitures rayées
sont les dernières en date. Ces atteintes à la démocratie sont graves. Les autorités communales et cantonales sont directement responsables de ces incivilités à répétition à l’encontre des anti-éoliens. Elles ont elles-mêmes ouvert les feux en multipliant les erreurs de communication et en minimisant l’impact des deux éoliennes de Saint-Brais sur la santé des riverains et sur la vie sociale du village. L’association librevent en soutenant ouvertement la lutte à Saint-Brais par son action à Genève a mis du baume sur les blessures des militants du village.
 
2013, les impacts sur la santé ne font plus de doute, par contre la volonté des lobbyistes et des politiciens
de les minimiser pourrait être assimilée à de la mise en danger de personnes. Dès la page 6 de ce document élaboré par nos amis  de l’association « Avis de Tempête Cévenoles » prenez des nouvelles de ce dossier qui nous concerne tous, actuels ou futurs riverains de ces machines.
 
 2013 c’est aussi l’année de la sortie d’un guide du routard transfrontalier qui vante les qualités touristiques du Jura français et suisse.  La qualité première de cette région ? Ses paysages.
 
En 2013, les subventions à l’éolien industriel ont bu la tasse. L’Espagne, la France, l’Allemagne doivent revoir leur mode de fonctionnement ruineux. La précarité prive d’électricité les plus pauvres qui ne peuvent plus assumer les coûts de la transition énergétique.
 
Donc, d’abord ils installent de nouveaux moyens de production et réfléchissent éventuellement après comment les plus pauvres pourront encore payer la facture d’une transition énergétique dont ils ont été exclus d’entrée ?
 
2013, Mlle Chevalley voudrait que les politiques passent sur le corps des riverains pour  imposer l’éolien industriel en force. Elle le dit ici : http://www.voisinedeoliennesindustrielles.com/2013/12/flash.html
L’éolien industriel n’est pas un projet de société comme elle cherche à le faire croire dans ce commentaire posté sur la Tribune de Genève, c’est un projet industriel, un business. L’étude dont elle parle est un sondage alambiqué qui a circulé dans les ménages de la région, il a été réalisé et interprété par une psychologue allemande qui milite dans un puissant lobby éolien international.
 
2014 : La lutte anti-éolienne a pris de l’ampleur en Suisse où de nombreuses associations ont vu le jour, notamment dans le canton de Vaud. La collaboration entre ces associations est un outil indispensable pour protéger l’arc jurassien des ambitions d’un lobby éolien puissant, très intéressé par les subventions qui en Suisse ont été revues à la hausse contrairement à la tendance européenne. Elles baisseront plus tard, quand des emplois auront été créé et que la décision entraînera d’autres catastrophes sociales…
 
Librevent profite directement de toutes ces associations suisses, françaises, belges, allemandes, au sein desquelles on trouve de plus en plus de personnes compétentes et actives. Trois membres du comité sont très impliqués dans ces échanges et assurent la collaboration indispensable avec elles pour maintenir à jour l’information, la documentation, la situation juridique, politique et scientifique.  C’est un travail énorme qui demande de plus en plus de temps et nécessitera vraisemblablement des changements au sein de l’organisation du comité.